Mission Ouvrière de l’Orne : 2017... 60e Anniversaire... et après ?
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Voici en images, quelques photos-souvenir de ce bel après-midi de dimanche dernier à l'occasion de la kermesse paroissiale au cœur de la cité Boucherville de Mortagne organisée avec la Mission ouvrière et les membres de la diaconie. Il faisait beau. Les gens du quartier sont venus; d'autres aussi, heureux de partager un moment festif. Étaient proposés, sous le signe de la gratuité, des jeux et un stand « goûter » où chacun a pu apprécié les crêpes et les gâteaux, le café et le chocolat. Les boissons fraîches, quant à elles étaient acquises en contrepartie de six points collectés au fil des jeux auxquels il suffisait de participer pour acquérir un point. Les gens du quartier ont bien joué le jeu en répondant « présent » par leur participation y compris en apportant des gâteaux ou en fournissant un accès au réseau électrique.
La Mission Ouvrière, toujours très sérieuse, avait installé un stand « réflexion » où chacun(e), grand ou petit était invité à exprimer sur des feuilles et des fleurs ou par le biais d’images, ses joies et ses rêves. Toutes ces expressions seront apportées et « offertes » dimanche prochain à la messe paroissiale. Enfants et adultes se sont exprimés sans complexes. Pour les plus petits, colorier une feuille ou une fleur fut aussi un moyen de se dire.
Une belle expérience qui ne demande qu’à se renouveler !
La Mission Ouvrière du Perche a innové pour fêter Noêl cette année....
Nous nous sommes retrouvés à une vingtaine, laïcs, religieuses et prêtres, accompagnateurs des équipes en mission ouvrière (Action Catholique Ouvrière, Jeunesse Ouvrière Chrétienne, Action Catholique des Enfants), comme chaque année en début septembre ( depuis plus de quarante ans ). C’était à l » abbaye » à St Jacut de la mer, pour reprendre force ensemble, partager, chanter, prier, célébrer, nous nourrir durant quatre jours, de topos avec l’évangile selon St Luc et l’exhortation apostolique du pape François « la Joie de l’ Évangile ».
L’intervenant, prêtre venu d’Alsace, était Joseph STENGER. Il était encore récemment animateur de l’équipe nationale du GREPO : groupe de recherche pour la pastorale en monde ouvrier.
Il nous rappelle que St Luc met l’accent sur la proximité de Jésus avec les pauvres ; l’audace de Jésus pour rencontrer les personnes abîmées, rejetées…les soutenir pour qu’elles intègrent ou réintègrent la communauté.
Le pape François aime à redire que nous sommes invités nous aussi à rejoindre les périphéries, nous décentrer, oser porter l’évangile près des gens des quartiers populaires.
Dans nos pensées, à nos esprits reviennent tous ceux que nous rencontrons qui vivent des galères de toutes sortes (travailleurs en précarité, migrants jeunes ou moins jeunes, familles parfois abîmées, personnes isolées …)
Dans une ambiance fraternelle, avec des partages en groupes, dans la vérité et dans la confiance, ou dans des temps de méditation personnelle, nous avons été nourris, renforcés dans notre projet de faire Église avec tous ces gens plus ou moins démunis mais qui vivent aussi de grandes richesses humaines, spirituelles.
Nous avons rappelé l’importance de nous aider à vivre les suites du rassemblement DIACONIA de Lourdes en 2013, où il apparaissait que les pauvres pouvaient être au centre, dans la vie de l’Église. Le pape François nous le redit, après Jean-Paul II et Benoît XVI : « Je désire une Église pauvre pour les pauvres. Ils ont beaucoup à nous enseigner... Il est nécessaire que nous nous laissions évangéliser par eux. La nouvelle évangélisation est une invitation à reconnaître la force salvifique de leurs existences et à les mettre au centre du cheminement de l’Église (exhortation n° 198). Vaste programme ! comme me disait mon voisin.
Quelques réactions à la suite de cette retraite : « L’intervenant est bien au fait de l’évolution de la société et de l’Église .il a beaucoup apporté ».
« Nous nous remettons devant la mission : travailler pour que les personnes en fragilité soient au centre ».
« Se replonger dans l’évangile et dans sa dynamique, quoi de plus revigorant ? »
Et ce refrain nous revient à l’esprit : « Un goût de solidarité fait de chacun une personne ; des vieux hivers, faisons l’été ; nous grandirons l’humain de l’homme ».
Date est prise pour l’an prochain !
C. Christy
UNE vingtaine de personnes de la Mission ouvrière et l'Action catholique ouvrière s'est retrouvée à Sées le 11 mai pour un temps de récollection autour de l'évangile de St Luc : la rencontre de Jésus et de Zachée.
C'est par la méthode de « la parole incarnée » que chacun s'est approprié le récit. En incarnant un ou plusieurs personnages, nous avons d'abord exprimé ce qui motivait notre choix de mimer tel ou tel « protagoniste » puis ce que cette expérience nous avait fait vivre, quelle(s) redécouverte(s) du texte elle avait permis. Comment l'interprétation des uns et des autres permettait une autre approche du récit, quels aspects étaient mis en valeur...
Puis ce fut le temps de l'approfondissement, avec l'apport du Père Christian CHRISTY qui a rappelé le contexte de cet évangile, comment Jésus par ce regard posé sur Zachée rappelait qu'il était en alliance avec tous les Hommes, les riches, comme les pauvres. Comment Dieu s'invite chez chacun d'entre nous dans une dynamique de résurrection. Si Zachée est transformé par cette rencontre, appelé à une conversion dans laquelle il s'engage, il permet aussi à Jésus de poursuivre sa mission jusqu'au bout, jusqu'à la croix.
Ensuite, un temps personnel a permis à chacun de rédiger des prières de pardon et d'action de grâce qui ont été partagées lors de la célébration eucharistique.
Avant de repartir, les groupes du matin se sont reformés pour partager les « appels » provoqués par cette journée ; exprimer ce que nous étions prêts à « laisser », à partager ; sur quelles personnes, quels groupes nous porterions notre regard, notre attention ; comment chacun se laisse aussi transformer par la Parole de Dieu.
Il était 17 heures lorsque chacun est reparti encore tout surpris et parfois très ému de ce qu’il avait découvert d’un passage d’évangile qu’il pensait connaître par cœur et avec de nouvelles clés pour appréhender d’une autre manière les rencontres que la vie nous propose.
La rencontre annuelle des missions ouvrières locales a eu lieu le 1er mars, en présence du Père Habert et des membres de chaque secteur.
Vingt-trois personnes se sont retrouvées pour réfléchir sur l'implantation de la mission ouvrière et ses perspectives d'avenir dans le monde et l'Église.
Le premier temps consistait donc à regarder à l'aide d'une carte du secteur les personnes et les lieux rejoints par la Mission ouvrière :
Beaucoup de membres de la mission ouvrière, comme les personnes rejointes ponctuellement, sont engagés dans les centres sociaux, les associations de défense des locataires, les associations sportives, Emmaüs, Enfance et partage, RCF, CIMADE, les conseils municipaux.... Ceux au travail sont souvent syndiqués, les retraités militent toujours dans les associations d'anciens travailleurs comme la MIC ou Moulinex. Les engagés politiques sont également présents. En ce qui concerne les engagements en Église, ils varient suivant les paroisses : Pastorale des migrants et gens du voyage, catéchuménat, équipe pastorale, liturgique, diaconie...
Le second temps a permis d'étudier deux textes : une réflexion du Diocèse de Créteil sur la pastorale en milieux populaire et l'extrait d'une relecture du Père Marcel ANNEQUIN sur la mission de vigilance.
Des convictions ont été exprimées :
- Être conscients de l’importance de notre présence parmi les personnes que nous côtoyons pour fabriquer de l’entre-eux et révéler les signes du Royaume de Dieu. Nos lieux de présence deviennent des lieux d'invitation, de témoignages. Ce témoignage n'est pas toujours explicite mais les attitudes et les actes interpellent et questionnent.
- Être avec les personnes, c'est être habité par la vie.
- Nous vivons, en Mission ouvrière, de petites fraternités où se partagent la vie, l’Évangile et la prière.
- Il faut oser une Parole, prendre une initiative, pour parler du Christ et de sa présence.
- Les rencontres que nous proposons en Mission ouvrière nous ouvrent et nous renforcent dans les engagements avec les autres. Cela permet de nous rencontrer et de rencontrer d'autres personnes, d’échanger nos idées sur l’actualité.
- Nous participons à la construction du Royaume de Dieu – Un Dieu qui veut le bonheur de tous et ne fait pas de différences.
- Savoir saisir les événements pour dire une Parole, rencontrer.
- Prendre le temps de la relecture pour capter les lumières de l’Évangile et faire le point de l’action de - Dieu dans l’Évangile. Dieu est là quand la personne est reconnue.
- C’est au cœur des fragilités et des contradictions de la vie que la vigilance s’exerce.
- Importance de la présence et l'écoute dans l’accompagnement
Plusieurs questions ont également été exprimées :
° Cette mission de vigilance qui peut nous être confiée : comment l'exercer ?
° Comment prendre le temps de proposer davantage des temps de prière aux personnes qui ne sont pas forcément en équipe ?
° Nous sommes au service. Or, dans l’Église aujourd'hui, on parle aussi de manager, de coach... Comment ensemble avancer ? Comment être reconnu et reconnaître d'autres façons de proposer la Bonne nouvelle du Christ ? Travailler ensemble ?
° Dépasser les mots : « je suis athée, Je suis croyant » ; pour aller plutôt sur le partage de ce qui nous fait vivre et qui peuvent être des portes pour des partages en profondeur. Comment on vit cela et comment en témoigner ?
° Comment se situer face aux paroles de racisme ? Comment affirmer une opposition ? Comment faire tomber les préjugés ?
° Comment ne pas se décourager pour rejoindre les plus jeunes et leur permettre de prendre leur place ?
Le troisième temps était celui de l'approfondissement : A partir de la 1re épître de St Paul aux corinthiens (chap. 12)
Le Père Évêque a rappelé que les communautés par le passé ont connu elles aussi des turbulences. « Nous sommes différents et devons nous sentir responsables de porter un aspect de la foi chrétienne : l’église est le rassemblement de ceux qui sont appelés, qui sont baptisés. Il faut se garder des tentations d’une foi privée, individuelle, ou du groupe auquel j’appartiens. Penser qu’il est la totalité du Corps. Ce que chacun représente est important. Ce que je suis est un élément parmi d’autres mais c’est la conjonction de tous les éléments qui fait le corps de l'Église. Nous sommes invités à la douceur, à la patience et L’évêque doit être celui qui permet la communion. Ce que vous dites est précieux et en même temps vous n’êtes pas tout le corps.
Grands points d’attention : la communication, comment rejoindre les jeunes, la Diaconie ?
Dans le diocèse, il y a le Conseil diocésain de la Diaconie. À partir de la Diaconie diocésaine, comment être un élément qui a quelque-chose à dire et qui n’a pas peur d’être présent avec d’autres pour que se vive cette Diaconie ?
Le Père Habert a également encouragé chacun à ne pas se décourager mais regarder les signes d'espérance. Nous sommes appelés à vivre des déplacements, mais apportons notre pierre pour qu'ils se vivent dans l'Espérance.
L'assemblée a, pour sa part, souligné la dimension collective portée par la lettre de St Paul – dimension collective qui nous appelle, à l’intérieur du diocèse, à partager nos richesses avec d’autres mouvements et d’autres services d’Église.
Il a été rappelé notre présence au Conseil de la Diaconie : un lieu où chacun partage et apporte son expérience propre de rencontres avec les plus fragiles. Un lieu où on élabore ensemble des propositions en direction des personnes en fragilité.
Le lien avec le récit de Marthe et Marie, ou la parabole des Talents a été exprimé pour rappeler que l’unité n’est pas l’uniformité ; la place de chacun dans la Mission Ouvrière, la place de chacun dans l’Église, le sens de nos engagements (sans amour, je ne suis rien). Savoir recevoir nos dons comme un cadeau de Dieu à partager, et permettre à chacun de reconnaître et recevoir ceux qu’il a reçus. Savoir également dire à l’autre : « je ne suis rien sans toi ».
Pour conclure la réflexion, nous avons repris les propos de Christophe Théobald, théologien, :
« Je me permets de vous proposer une liste des charismes, un peu à la manière de Paul dans l'épître aux corinthiens. Cette liste est faite pour mettre en valeur la créativité et les capacités d'un peuple : l'art de la présence dans un lieu ou dans un quartier, la capacité de mettre des personnes en relation, la recherche de la dernière brebis, le sens de la vie associative, le sens de l'engagement social et politique, la capacité d'organisation, l'art de l'éducation populaire, l'intérêt pour suivre les itinéraires des uns et des autres, l'art de créer des liens entre populations différentes au sein de l’Église...Cela vaut la peine de chercher. Le critère de recherche de ces charismes est bien « le bien commun au service de... », soumis à la vérification et au discernement.
Le ministère et des ministères possibles peuvent également se réfléchir, se discuter, comme la liste des charismes :
Un ministère d'animation de cellules d’Église en Monde ouvrier et milieux populaires ;
Un ministère de lecture des écritures en lien avec la révision de vie ;
Un ministère d'accueil de nouvelles personnes, de nouvelles situations, de nouveaux croyants ? Pourquoi pas ?
L'enjeu est de susciter la créativité. Il nous faut donc entrer vigoureusement dans une transformation missionnaire de l'Église et dans l'Église de la Mission ouvrière.
De nouvelles pistes de réflexion que nous ne manquerons pas d'aborder et de réfléchir ensemble pour une Mission ouvrière toujours plus auprès du peuple de Dieu.
Rappel des dates prochaines :
1er mai : 16 h 00 à Argentan Rencontre proposée par le CCFD pour faire connaissance avec tous les mouvements et services qui composent la collégialité
11 mai : Réco ACO/Mission ouvrière : Parole incarnée Récit de Zachée
24 mai : Formation Quartier populaires, ICP Paris : « Une Église pauvre pour les pauvres »
15 juin : Journée fraternelle organisée par la Diaconie
22 juin : ACO St Ortaire
Projet de formation autour du livre « la fraternité bafouée » Véronique ALBANEL
La 45e retraite annuelle de la Mission ouvrière a eu lieu du 2 au 6 septembre 2018 à St Jacut de la Mer.
Cette retraite s'adresse aux accompagneurs prêtres, religieuses et laïcs engagés auprès des enfants, jeunes et adultes en quartier populaire, mais aussi aux responsables des mouvements ACE, JOC ACO.
Le thème choisi était « De l'humanité bafouée à l'humanité relevée ». C'est Maurice CARRÉ, curé d'une paroisse sur Laval et accompagnateur lui-même de la M ission ouvrière qui a accepté de prêcher cette retraite à partir de récits de l'Evangile de St Marc, des Actes des apôtres et de l'exhortation du Pape : « la joie et l'allégresse ».
Trois nouveaux participants ont rejoint le groupe, voici quelques échos de ce qu'ils ont vécu :
« Participant pour la première fois à cette retraite, je retiens un emploi du temps bien établi, qui laisse temps, après l'intervention du matin, à la réflexion personnelle, à la prière, mais aussi à la balade et la baignade.
L'apport sur le regard, l'écoute avec le récit de la guérison d'un infirme au temple (actes 3,1-16) m'a permis de relire ce que je vis avec les travailleurs en précarité dans mon usine, vivre avec eux des temps de partage, les soutenir, être auprès de ces femmes et hommes, les écouter et les aider à avancer (c'est aussi la priorité de l'ACO). Ces 4 jours m'ont permis de faire une pause, de réfléchir à mon rôle de chrétien, à prier pour me redonner la force de repartir dans ma responsabilité en ACO, et dans mon engagement syndical, proposer la RDV à un plus grand nombre. »
« Après l'apport du matin et des pistes de réflexion proposées, c’est l’heure de rentrer en soi-même pour faire la vérité, pour éclaircir des zones d’ombre, pour relire en toute quiétude, sans obligation de résultat, notre vie, notre « mission », nos engagements.
Puis en fin d'après midi arrive le partage en grand groupe avant la célébration, nourrie de symboles, durant laquelle chacun aura à cœur d’offrir les fruits de chaque journée. A chaque jour, ses richesses et plus elles s’accumulent, plus le cœur se fait léger. »
La retraite est un moment important en ce temps de rentrée, le récit de la Passion a permis, entre autre, de faire le point sur le cœur de notre mission, déposer nos fardeaux et relire nos richesses ; rappeler l'importance de la prière qui permet de : « nous tourner vers le Père, lui exprimer ce que nous ressentons, prendre ce temps suffisant pour que se creuse en nous ce puits où notre décision va prendre racine avec une assurance paisible. ». (Maurice Carré)
La foi en la résurrection de Jésus qui pousse Pierre et Jean à l'action, a interpellé chacun sur son attitude : comment sommes-nous à l'écoute, comment nous laissons-nous « enseigner » par la parole de Dieu et par la parole des autres et quelle « fréquentation » de la Parole de Dieu permettons-nous de vivre à travers nos propositions ?
Enfin, L'Exhortation apostolique nous a renvoyé, sur nos routes, encouragé à la rencontre, à l'action, à la bienveillance, au pardon pour une nouvelle année au service de la Bonne nouvelle.
La 45e retraite annuelle de la Mission ouvrière a eu lieu du 2 au 6 septembre 2018 à Saint Jacut de la Mer.
Cette retraite s'adressait aux accompagnateurs prêtres, religieuses et laïcs engagés auprès des enfants, jeunes et adultes en quartiers populaires, mais aussi aux responsables des mouvements ACE, JOC, ACO.
Le thème choisi était « De l'humanité bafouée à l'humanité relevée ». C'est Maurice CARRÉ, curé d'une paroisse sur Laval et accompagnateur lui-même de la mission ouvrière qui a accepté de prêcher cette retraite à partir de récits de l'Évangile de St Marc, des Actes des apôtres et de l'exhortation du Pape : « La joie et l'allégresse ».
Trois nouveaux participants ont rejoint le groupe, voici quelques échos de ce qu'ils ont vécu :
« Participant pour la première fois à cette retraite, je retiens un emploi du temps bien établi, qui laisse temps, après l'intervention du matin, à la réflexion personnelle, à la prière, mais aussi à la balade et baignade.
L'apport sur le regard, l'écoute avec le récit de la guérison d'un infirme au temple (actes 3,1-16), m'a permis de relire ce que je vis avec les travailleurs en précarité dans mon usine, vivre avec eux des temps de partage, les soutenir, être auprès de ces femmes et hommes, les écouter et les aider à avancer (c'est aussi la priorité de l'ACO). Ces quatre jours m'ont permis de faire une pause, de réfléchir à mon rôle de chrétien, à prier pour me redonner la force de repartir dans ma responsabilité en ACO, et dans mon engagement syndical, proposer la RDV à un plus grand nombre. »
« Après l'apport du matin et des pistes de réflexion proposées, c’est l’heure de rentrer en soi-même pour faire la vérité, pour éclaircir des zones d’ombre, pour relire en toute quiétude, sans obligation de résultat, notre vie, notre « mission », nos engagements.
Puis en fin d'après-midi arrive le partage en grand groupe avant la célébration, nourrie de symboles, durant laquelle chacun aura à cœur d’offrir les fruits de chaque journée. A chaque jour, ses richesses et plus elles s’accumulent, plus le cœur se fait léger. »
La retraite est un moment important en ce temps de rentrée. Le récit de la Passion a permis, entre autre, de faire le point sur le cœur de notre mission, déposer nos fardeaux et relire nos richesses ; rappeler l'importance de la prière qui permet de : « nous tourner vers le Père, lui exprimer ce que nous ressentons, prendre ce temps suffisant pour que se creuse en nous ce puits où notre décision va prendre racine avec une assurance paisible. » (Maurice Carré)
La foi en la résurrection de Jésus qui pousse Pierre et Jean à l'action, a interpellé chacun sur son attitude : comment sommes-nous à l'écoute, comment nous laissons-nous « enseigner » par la parole de Dieu et par la parole des autres et quelle « fréquentation » de la Parole de Dieu permettons-nous de vivre à travers nos propositions ?
Enfin, L'Exhortation apostolique nous a renvoyé, sur nos routes, encouragé à la rencontre, à l'action, à la bienveillance, au pardon pour une nouvelle année au service de la Bonne nouvelle.
Jour de fête pour toute l'A.C.O. ornaise ce samedi 23 juin 2018 à Saint-Ortaire.
Cette traditionnelle rencontre près de Bagnoles-de-l'Orne a rencontré un franc succès. Jeux, promenade, réflexion, célébration et comme toujours un barbecue généreux ont ravis les copains et copînes présents en présence de notre nouvel élu régional au conseil national, notre ami Lionel.
Bref une bel manière de commencer l'été que nous souhaitons à toutes et à tous vivifiant et chaleureux.
Reprise des barques et silhouettes apportés lors de la célébration
Barques : Ce qui permet de me remettre en route
La vie en groupe : la joie de se retrouver, de discuter, l'aide de notre aumônier, surtout. Savoir reprendre dans l'instant au mieux des intérêts des personnes.
Faire partie d'une association ou conseil, on repart.
Vers la Pastorale des migrants, les personnes âgées. Agir en équipe, veiller à ce que personne ne reste sur la plage. Quelqu'un là haut qui pense à nous.
Les liens d'amitié, les collègues. Rencontrer du monde, partager, aider. Les temps festifs.
La rencontre avec les autres dans la confiance. Réfléchir, donner un sens en équipe. Le témoignage de ceux qui agissent, interpellent. Envie de changer le monde pour plus de justice, de solidarité, un monde de paix.
La famille, les amis, les collègues, ceux qui ont besoin de notre aide. Ma foi en Jésus-Christ. L'ACO me redynamise. S'ouvrir aux autres, il y a quelqu'un là-haut qui pense à nous.
Les copains qui me font confiance ex. : action syndicale. Les amis du centre social et du quartier : fraternité vécue.
Des jeunes qui s'engagent, prennent la relève (MRJC, SC, visiteurs de prison...).
Se ressourcer, faire des pauses, se laisser regarder par Jésus car on est accompagné par lui. Il nous envoie et nous porte.
Les temps forts, rencontres comme aujourd'hui.
L'amitié, la compréhension, l'accueil, l'entraide, se sentir reconnu, sortir de l'isolement, les relations familiales, être avec les amis, la foi, tendre la main aux autres, ne pas baisser les bras, avancer avec les autres, espoir d'un monde meilleur, aimer et se sentir aimé.
Ne pas perdre espoir, persévérer, nous ne sommes pas seuls. Aller vers les autres.
Dans les moments de fatigue, se laisser porter par les autres.
Silhouettes : Vers qui, vers quoi je me sens appelé aujourd'hui ?
Vivre mieux ; que tous mes frères et sœurs qui viennent d'ailleurs se sentent accueillis et trouvent une place dans la société et dans l'Eglise ; L'espoir et la foi en un monde meilleur, l'amour, le partage l'amitié, l'entraide, l'accueil.
Le Secours Catholique, vers les jeunes, les enfants en ACE, les personnes âgées en maison de retraite, le quartier avec ce qui se prépare : la rencontre est plus facile autour d'un projet. Vers les migrants, sans savoir trop quoi faire. Savoir se placer en situation d'écoute : encourager, aider à la prise de responsabilité, faire en sorte que notre foi en Dieu transparaisse à travers nos actes, d'où le sens du respect.
Aller vers ceux qui sont au bord du chemin, les laissés-pour-compte. Les lieux où on peut partager, qui nous ressourcent.
Inviter l'Evêque, inviter Aurélie à venir à Vie Libre, des copains et copines pour agrandir l'équipe, pour faire la fête et se retrouver.
Hélène qui nous rappelle les réunions, Jocelyne qui nous aide et nous appelle pour pas qu'on oublie, à faire des kms entre Gacé et Argentan, vers l'ACO.
Vers les autres, vers le partage, la croyance en Jésus, Ste Thérèse, Marie. Vers les gens dans le besoin, vers les familles des quartiers populaires, vers des gens qui demandent de l'aide.
Vers le personnel précaire pour porter leurs revendications, pour qu'ils ne soient pas oubliés du monde du travail. Regarder devant moi, mettre ta lumière, ta couleur. Penser que nous partageons avec Jésus la souffrance, l'abandon mais aussi la patience, la rédemption. Faire une pause pour se recentrer sur soi. Faire une promenade avec des amis, se rencontrer avec d'autres. Vers Christophe, vers Georges, vers Katou. Vers Sylvie, Fanny, Jenny, Vanessa, Flavien et les « anciens » de mon travail.
La compagnie des copains de l'ACO, écouter et être écouté, être dans la confiance.
Rester actif comme retraité, garder les liens avec les copains du syndicat, participer aux manifs et vivre la solidarité. Vie en famille, partages avec les amis, rester actif dans la vie en société. Avoir confiance, partager avec les autres, réfléchir en équipe, ne pas baisser les bras. Trouver un travail stable, défendre les droits de chacun.
Rencontre nationale à Saint-Etienne
C'est ressourcés et renouvelés que nous sommes revenus de la récollection du 21 avril organisée par l'ACO et la Mission ouvrière.
« L'Espérance s'invite dans nos vies », tel était le thème de cette réco.
L'expérience de la Parole incarnée à partir du récit de Bartimée (Évangile de Marc, 10,46-52) a permis à chaque participant d'incarner un personnage en se l'appropriant et en motivant son choix : « j'aurais pu choisir la foule parce que je suis timide, mais je choisis Bartimée, car on peut arriver à croire, il faut avoir confiance » ; « moi je choisis la foule pour le mot « confiance », il y a beaucoup de personnes prêtes à se lever à qui on ne dit pas de faire confiance, c'est les uns par les autres que l'on s'entraide face aux difficultés » ; « La foule pour être avec le peuple au milieu des personnes » ; « un disciple car j'aime annoncer l'Évangile »...
Ces quelques extraits rendent compte de la richesse des échanges qui se sont poursuivis ensuite avec l'approfondissement proposé par Jean-Louis LAPERT, membre ACO de Rouen, ancien président national de l'ACO.
Jean-Louis a rappelé, à travers le discours du Pape, la priorité de l'ACO ou Diaconia, comment l'Évangile nous appelle à ouvrir nos yeux, nos oreilles et nos cœurs ; « Ce ne sont pas seulement les cris de colère et de souffrance qui sont à entendre….mais aussi les joies et les aspirations des femmes et des hommes d’aujourd’hui. C’était une des convictions du concile Vatican 2. Toutes ces souffrances, ces joies et ces aspirations sont aussi celles des disciples du Christ. Elles sont à écouter en vérité pour que l’Évangile puisse rejoindre le cœur des hommes. »
Le second point de l'intervention portait sur notre condition de disciple du Christ : « Les membres de l’ACO « sont des femmes et des hommes soucieux de mettre leurs pas dans ceux du Christ...» (Charte du Mouvement). Devenir ses disciples, c’est « renoncer à soi-même, prendre sa croix », (Mc 8/ 34) pour vivre pour le Christ et son Évangile; c’est être associés par toute notre vie à la mort et à la résurrection de Jésus et être appelés à vivre son même engagement libérateur. »
La croix, la souffrance font partie de la vie des travailleurs, des milieux populaires et de nos propres vies : maladie ; absence d’avenir ; échecs dans nos familles et nos relations, dans notre vie militante. La déception, la peur, le découragement prennent parfois le pas dans nos existences ; le combat est souvent difficile. Les résultats ne sont pas toujours là. Jésus essaie de faire comprendre aux disciples le chemin qu’il propose, celui du service et du don de soi. Il veut leur signifier quel Messie il sera, un messie souffrant et serviteur de tous. Jean-Louis a poursuivi avec l'Espérance. Cette Espérance du matin de Pâques, quelle est-elle pour nous ? « Notre espérance a un nom, Jésus-Christ. Au cœur des désespoirs, des difficultés, des pauvretés, nous savons que la vie et la résurrection peuvent surgir. Au cœur de ce qui nous semble la mort, la vie est là, parfois là où on ne l’attend pas. Comment discerner cette vie, ces personnes qui se lèvent et se mettent en lien, ces gestes de partage et de solidarité, ces résurrections ? Comment les lire dans la foi, à la lumière de l’Évangile ?... sinon en pratiquant les différentes formes de relecture de nos Mouvements. Comment vivre et témoigner de cette espérance apportée par le Christ ?
Des appels auxquels chacun a pu réfléchir tout comme le dernier aspect abordé par Jean-Louis, celui de la rencontre du Christ à travers la prière. La nécessité de prendre du recul, faire silence, relire notre vie à la lumière de la Parole, et s'adresser au Christ. Comme l’a rappelé le Pape François : « Ce qui maintient la lumière, ce qui donne la vie à la lumière chrétienne, ce qui illumine, c’est la prière ».
Qu’est-ce qui nourrit notre vie chrétienne ? Quelle est la qualité de cette nourriture ? Quel est notre rapport personnel à la Parole de Dieu ? La confrontation avec la Bible, notre prière (avec ses formes les plus diverses), doivent irriguer notre vie en Mouvement et notre vie personnelle, comme notre participation aux sacrements et à l'Eucharistie.
Cette journée s'est poursuivie par un repas partagé, suivi de la célébration eucharistique ponctuée par les demandes de pardon et les actions de grâce préparées par chacun, tout comme le commentaire de l'Évangile.
Enfin c'est avec un temps personnel que s'est terminée cette réco, appelés à faire place au récit, recueillir toute la vie dont nous sommes témoins : permettre d'exprimer ce qui est vital et qui donne espérance, notamment chez les personnes en situation de précarité ou de fragilité, aider à relire son parcours de vie, analyser les causes socio-économiques des inégalités subies et oser parler de Jésus, proposer cette rencontre avec le Christ.
Même si nous pouvons regretter de ne pas avoir été plus nombreux à prendre ce temps pour soi et pour la rencontre du Christ, ce qu'a exprimé Sylviane à la sortie de la messe ce dimanche ne peut que nous encourager à poursuivre l'initiative : « C'était bien, hier ; le fait qu'on n'était pas trop nombreux ça a permis de mieux entrer dans le mouvement ACO : on n'a pas eu peur de s'exprimer ».
D'autres participants : « Ça apporte de la sagesse, de la réflexion, un moment pour soi.
J'en ai besoin. Ça aide dans ta vie de tous les jours à te poser les bonnes questions.Tu t'aperçois que tu n'es pas tout seul. Ça donne de la force pour continuer, d'autres y sont arrivés, pourquoi pas moi ? Cela me conforte vers la demande de baptême. »
Vivre des partenariats : pourquoi, avec qui, comment... ?
Présents :
Alençon : Sonia, Josette, Jacques, Monique, Viviane, Raymonde, Marithé, Bernard, Paul, Gilbert,
Sées : Michel
Argentan : Nicole, Jocelyne, Claude
Le Bocage : Geneviève, Danielle, J.Marie, Denis
Gacé : Christian
Le Perche : Geneviève, M. Noëlle, Thierry, Marianick, Joël, Christiane, Claudine
Prière préparée par Alençon
Le Père Habert renouvelle Geneviève dans sa mission pour l'accompagnement de la mission ouvrière sur le Perche, la fondation des mouvements... Est mentionné également sur la lettre de mission que Geneviève sera la référente Diaconie pour le Pôle du Perche Nord.
Témoignage des copains du Perche sur ce que favorise la présence de Geneviève et afin de l'encourager dans sa mission.
Témoignages des Missions Ouvrières Locales : Quels partenariats vivons-nous ?
Argentan :
Bibliothèque de rue avec le secours catholique.
Participation au groupe de la pastorale des migrants.
Catéchuménat.
L'ACE et la JOC ont été sollicitées pour participer une rencontre organisée par la ville autour de la citoyenneté. Les clubs ont préparé et Pascale a participé à la rencontre.
Perche :
Préparation de la célébration de Noël avec le Secours Catholique.
Participation aux 70 ans du Secours Catholique.
Catéchuménat : avec des plus jeunes – des filles qui sont en Triolo – elles sont en recherche baptêmes ou 1eres communions.
Partenariat avec la catéchèse – un temps de partage, de célébration et de fêtes (enfants au caté et enfants en ACE). On prépare ensemble. Tous les enfants sont invités à la fête du jeu qui a lieu à Berd’huis.
Ce qui est important, c’est la réciprocité avec les partenaires.
Cela a permis pour nous de monter une équipe d’ACO.
Alençon :
Pour la 1re fois, les enfants de l’ACE ont été invités à préparer un conte pour Noël avec les enfants de la catéchèse.
Le club ACE a présenté la danse « ma joie » à la fête des peuples.
Bocage :
Partenariat avec le Secours catholique à l'occasion de Noël et Pâques, avec la paroisse (tables ouvertes...)
Partenariat dans le cadre du groupe « pastorale des quartiers populaires » : groupe de réflexion qui dégage des points d'attention et « d' action ».
Travail en groupe sur des extraits de textes du cahier de l'atelier 554 et Foi d'un Peuple
Intergénérationnel : Textes Agnès Willaume et Stéphane Haar, Pascal Verbèke
Importance de l'accès à la responsabilité
L'attention aux nouveaux et à tout groupe. Préparer à l'avance, utilisation de nouveaux moyens. Des moyens qui partent de ce que les personnes sont.
On fait souvent pour... Comment faire avec ?
Aller au rythme de chacun, être attentif à ce que vivent les personnes, être patient, on le vit déjà, il est important de se le redire.
S'appuyer sur des compétences, des savoirs faire qu'on n'a pas forcément, notamment pour de nouveaux outils
Dans nos bureaux de MOL il n'y a pas de jeunes, ni d'enfants, comment faire ?
Comment communiquer, donner à voir ce qui se vit dans les familles ? Charger une ou deux personnes pour cela.
· Le partenariat : il ne s'agit pas de fusionner, mais d'unifier.
L'Evangile entre toutes les mains : Textes Bernard Fontaine et Bernard Tordi
Importance de laisser la parole retentir en nous, dans nos vies.
Appeler...prendre le risque que l'Ecriture devienne souffle, Parole...suite de Jésus.
Question : réfléchir à l'accompagnement des jeunes et des ados vers les sacrements, en lien avec les paroisses et le diocèse. Besoin de formation
Connaître Jésus pour parler de Jésus : Repères ACO, pas réservé aux spécialistes !
· Comment prendre et tenir notre place dans les pôles missionnaires ?
Mission ouvrière : quelle espérance ? Textes Xavier Durand et Christophe Théobald
Constat :
Nous sommes dans une société plurielle où des personnes continuent de s'engager. On a des choses à vivre ensemble avec les associations, les mouvements.
Le fait d'être ensemble, de faire Peuple est une force qu'il faut développer.
Le partenariat bouscule et nous appelle à accueillir d'autres formes d'expression que les nôtres.
Etre sensible à l'imprévu, à l'inattendu.
Questions :
Sommes-nous assez attentifs aux réalités de vie des familles populaires au cœur de nos mouvements.
Que pouvons-nous partager, accueillir en profondeur ?
Pistes :
Importance de continuer d'analyser les causes dans nos mouvements, cela peut aider d'autres instances d'Eglise.
Importance d'un lien entre populations différentes au sein de l'Eglise et en dehors.
Accueillir l créativité qui vous appelle à d'autres expressions, sous d'autres formes (ex célé de Noël)
C'est par où l'Eglise ? Etienne Grieu
Ce que nous retenons :
Sortir – Se nourrir des engagements dans la société...
Des allers et retours entre lieux d'Eglise et lieux de vie : des communautés qui se rencontrent.
Ce rendez-vous avec les plus fragiles est crucial pour l'Eglise.
Les appels :
Chacun doit avoir une place, une responsabilité dans l'Eglise.
Réaliser quelque chose de beau ensemble et que cela soit reconnu.
Accepter de bouleverser nos pratiques
Faire écho dans les célés paroissiales de ce que nous vivons lors des temps forts en MO.
L'importance de la relecture
Poursuivre nos partenariats
· Une Eglise qui fait signe dans le Monde
L'évangélisation en milieux populaires : Mgr Brunin (Foi d'un peuple)
2 sortes de partenariat : avec des mouvements d'Eglise – avec des associations non confessionnelles
Difficulté d'être reconnu dans certaines paroisses : Appel à des initiatives
Lettre de mission remise en paroisse ?
Habiter nos espaces sociaux communautaires existant, tisser patiemment des liens avec eux pour faire exister l'unique Eglise d Christ à travers nos réalités de vie : où la parole de Dieu est accueillie et partagée.
Le bureau diocésain relira les différents apports de la journée afin d'en recueillir les fruits et d'envisager des suites.
Informations :
5 avril : Rencontre à Lisieux sur la piété populaire proposée par le service de catéchèse : 6 inscrits
21 avril : Récollection ACO/Mission ouvrière à Sées – La Miséricorde avec Jean-Louis LAPERT. Ouverte largement à toutes les personnes avec qui nous sommes en lien, invités, partenaires...
1er juin : Formation « accompagner les familles en milieux populaires » à Paris, proposée par la MO, les fils de la charité et pastorale des migrants, en partenariat avec l'ICP. Ouverte à tous
2 juin : Journée Diaconie à Sées : sont invités les référents de Pôle, les responsables des mouvements et services concernés, des personnes en précarité/fragilité. « Vivre ensemble une journée conviviale autour de l'Evangile. »
2 juin : Remise des pétitions de la JOC
· 29 juin : Rencontre de fin d'année JOC à Argentan à partir de 18h.
RCF : Chronique de 15mn
o Février : JOC
o Mars : formation quartiers populaires.
o Avril : ACE du Perche
o Mai : ACO
o Juin : mission ouvrière diocésaine – bilan.
CCFD :
o Proposition de carême – existence d’un livret. Célébration le 5è dimanche de Carême : 18 mars 2018
o Visite d’un partenaire guatémaltèque dans l'Orne du 11 au 18 mars.
· Rencontre diocésaine en septembre des équipes de préparations de Noël en Mission Ouvrière.
ACE :
o 3-4-5 mai : camp
o Journée réco Normandie le 7 avril.
ACO : Rencontre nationale Pentecôte 2018 : 6 délégués : Lionel, Thierry, Emmanuelle du CD, Franck (ESAT)et Geneviève (Bocage), + un autre appel en cours + Christian, Nicole (Région) et Jocelyne (Invitée).
Service simple et gratuit